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Archives - Spectacles et bals
2007
Grand Bal pour les 20 ans de la Maîtrise de la Perverie à Nantes
Bal Rabelais à la scène nationale de Dunkerque
2006
DuoS, création à Albi,
Castres. Formations,
Bals...
2005
Formation,
Bals à Angoulême, Brugges, Montreuil,...
2004
Le concert dansé D'où
vient celà..., Galway
(Irlande), Sarrant (Gers), Vincennes...
Fidèle à son travail sur les rapports dynamiques entre
la musique et la danse, la compagnie, enrichit lespace de création,
rencontré dans les répertoires de la Renaissance, par
des propositions nouvelles.
Voix et instruments se mêlent pour explorer de nouvelles sonorités
dans les répertoires polyphoniques pendant que les danseurs
dessinent lespace sonore ainsi créé.
Les danses utilisent, en le développant, le vocabulaire des
danceries de la Renaissance, associé à lécriture
chorégraphique propre à la compagnie.
Loriginalité de cette écriture est de traiter
la danse comme une des voix du tissu contrapuntique.
Les mouvements sont alors musique avec une conscience aigüe des
rapports ainsi créés.
Le cadre volontairement sobre du décor et de la mise en scène
met en avant les relations musiques-danses au delà de toute
reconstitution historique.
Les costumes appuient notre propos créatif, où les variations
dune seule couleur
harmonisent emprunts stylistiques et modernité.
7 danseurs - chanteurs - instrumentistes
Durée du spectacle : 1h
1985-2003
Bals et le spectacle Révérence
passagère
La réalisation de ce spectacle concrétise les choix
artistiques fondamentaux de la Compagnie depuis sa création
: un travail liant interprétation musicale et chorégraphique,
respectant les styles, privilégiant l'expression des musiciens
et des danseurs, dans les variations, diminutions, ornementations
et chorus divers.
Le spectacle montre létroit rapport qui existe à
la Renaissance entre la musique et la danse : le son soutient le geste
et le geste inspire le son. La complicité entre musiciens et
danseurs est totale.
Se succèdent : les danses en chaîne ou en rondes portées
par lénergie du collectif, les danses de couples, les
improvisations des danses en solo et les intermèdes musicaux.
Du rythme de la danse à lharmonie du concert, le spectacle
alterne les effets en voulant confronter les sentiments, susciter
lémotion, et amène le spectateur-auditeur à
ressentir cet enthousiasme qui vous donne des fourmis dans les
jambes.
Il nous entraîne, au travers des différents répertoires,
dans une promenade allant du XVe siècle au début du
XVIIe siècle, en France, en Italie et en Espagne.
Avec 5 musiciens, 6 danseurs, 1 éclairagiste, 1 sonorisateur
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Archives - Presse
Trad Magazine, juillet-août
2000
1-Sophie, peux-tu nous raconter depuis combien de temps existe
la Compagnie Maître Guillaume et par qui a-t-elle été
créée ?
Au début des années 80, Francine Lancelot, directrice
de Ris et Danceries, me demanda de réunir et de coordonner
musiciens et danseurs afin de réaliser le déroulement
dun bal Renaissance à Dijon. Cet événement
est la base de ce qui deviendra un peu plus tard la Compagnie
Maître Guillaume. Marqués par nos parcours divers
et nos pratiques artistiques différentes, nous nous trouvons
rassemblés autour de ces répertoires allant de
la fin du XV°S. au début du XVII°S..Depuis plus
de quinze ans, nous avons expérimenté la rencontre
dune reconstitution musicale avec la pratique de la danse,
confrontation directe et expérience irremplaçable
pour vivre cette musique.
Les termes de bal Renaissance, de musiques
et danses anciennes sont parfois réducteurs. Cette
habitude « denfermer la musique dans des catégories
abstraites, den haut, cest aussi lenfermer
dans sa réalité concrète, cest couper
les musiciens les uns des autres par genres mal définis... »
(Claude Sicre, Trad magazine, n°66, juillet-août 1999)
Pour nous les termes de musiques et danses anciennes doivent
être compris comme une source, une référence
à laquelle on salimente pour créer, interpréter
une musique aujourdhui. Notre pratique, associée
à une pratique contemporaine de musique et de danse (composition,
improvisation, écriture chorégraphique et musicale),
est une pratique vivante.
2- Quelle est la démarche de la compagnie ?
La démarche de la Cie allie recherche, pratique et création.
Pour lépoque qui nous intéresse, la Renaissance,
les recueils de danceries, les traités, les partitions
sont les moyens, les outils de transmission et de reconstruction.
Notre démarche depuis le début, est successivement
une lecture des textes, une sélection, une pratique,
une assimilation, une maturation enrichies par la pratique dautres
répertoires (traditionnel, médiéval, baroque
).
Puis viennent linterprétation, la recréation
de cette musique établies sur nos convictions esthétiques
et nos personnalités, pour aboutir à une diffusion
en bal, en concert ou en spectacle : toute diffusion sensible
pour le plaisir immédiat du "danseur- spectateur-
auditeur".
A la Renaissance, le phénomène est inverse : la
notation de la danse et de sa musique est le fruit dun
collectage des différentes pratiques de lépoque.
Dynamisé par lessor de limprimerie, les publications
de recueils de musique, de poésie, de chansons rencontrent
un large public.
A chaque époque, dans toutes les civilisations, il y
a un rapport entre musique, danse et leurs fonctions sociales.
Une approche politique, liée à la dimension sociale
et économique dune époque doit, selon nous,
en compléter lapproche culturelle. Dans certains
contextes, la culture dominante de notre société
nous impose de réduire ce répertoire en lenfermant
dans son aspect historique (spectacles, sons et lumières,
fête médiévale !...).La distance créée
par la mise en scène théâtrale peut justifier
cet aspect. Mais dans les autres cas ?!...Pour nous, entretenir
exclusivement la nostalgie du passé induit la non-pratique
aujourdhui, une pratique sans futur. Vous laurez
compris, notre démarche nest surtout pas passéiste,
mais limage que lon a de soi, nest pas toujours
nécessairement celle que les autres perçoivent,
ni celle que lon peut contrôler, alors parfois quelques
dérives sont observées...
3-Est-ce que cette démarche vous impose des choix ?
Choisir de jouer ce répertoire en respectant sa fonction
(le rapport à la danse), cest avoir un rapport
au public différent et complémentaire de celui
du concert dit de musique savante. « Une
culture cest justement linteraction du savant et
de lanonyme. Cest quand cette interaction ne se
fait plus que lon invente ces fausses notions de culture
populaire et de culture savante. Binarisme paralysant. Comme
celui qui oppose la tradition à la modernité,
le rural à lurbain, la forme et le contenu. »
(Claude Sicre, Trad magazine, n°66, juillet-août 1999)
La musique de danse nest ni plus simple, ni plus facile
que les autres, elle est seulement différente. Elle met
en place des dynamiques, des caractères qui lui sont
propres. Le savoir-faire, le savoir-jouer dun
ménétrier demande plusieurs années pour
arriver à maturité. Faire danser, commander au
mouvement, être en contact direct avec les danseurs, jouer
par cur, improviser, connaître les appuis de la
danse, tenir un tempo sans ressembler à un métronome,
introduire quelques grains de fantaisie, trouver son jeu, affirmer
sa personnalité, sont autant de points demandant une
longue pratique. Dans le bal, il y a un engagement des interprètes
face au public. Il faut affirmer nos choix dinterprétation
et nos propositions pour que la danse existe. On ne peut pas
tricher....La fonction première de cette musique, cest
de construire avec le public une communauté éphémère,
le temps dun bal. Puis, sur un plus long terme, par lacquisition
de vocabulaires musicaux et corporels communs, léchange
va exister ; le corps et lesprit séduquer
; les rencontres entre les musiciens et les danseurs vont se
vivre...
4-Quelles sont les moyens de transmission que vous vous donnez
?
Notre volonté pédagogique cherche à pérenniser
ces moyens de transmission que sont loralité et
lapprentissage direct et sensible. Le bal est un des lieux
de transmission de la danse et de la musique de danse, prenant
en compte les influences extérieures, les intégrant
et les transformant au gré des temps, des milieux sociaux,
des pays et des interprètes.
Pour nous ce répertoire est porteur dexpression
contemporaine et pas simplement de lexpression du passé.
Nous sommes dans la situation dun vecteur entre la recherche,
son milieu et le public. Nous utilisons les résultats
de la recherche pour une activité vivante.
Nous nous attachons à élargir le cadre socioculturel
de notre public par la pratique du bal. Nous créons des
occasions de pratique de danse collective, chaque mois dans
une salle de la région parisienne, avec de la musique
vivante. Laccueil de diverses classes dâges,
de niveaux de savoir différents, favorise les dynamiques
de transmission et dapprentissage à lintérieur
des bals.
Ailleurs, les bals sont aussi laboutissement d'une action,
d'un projet pédagogique que nous menons à long
terme avec une classe, une école de musique ou de danse,
une ville, une association. Louverture aux autres formes
dexpressions artistiques, à lhistoire, au
patrimoine architectural est inhérente à notre
enseignement, permettant un complément dinformation
pour une compréhension de notre environnement. Eduquer
le regard, en parallèle avec léducation
de loreille et du corps, nous semble indispensable.
5- Le bal renaissance peut-il être vécu comme un
lieu de transmission ?
Le temps d'un bal, pour certains c'est la complicité
dynamique entre musique et mouvement qui prévaut avec
tout l'aspect ludique que cela entraîne, pour d'autres
cest le mouvement et son expression portés par
la musique qui seront primordiaux, et pour dautres encore
nous sommes dans l'imaginaire, le rêve collectif partagé,
on se réapproprie l'histoire. Mais pour tous, le bal
est un moment privilégié et convivial, toutes
tranches d'âge confondues, loin des hiérarchies
et des cloisonnements de la vie quotidienne, où l'aspect
de jeu et de partage favorise l'imagination et l'expression
individuelle et collective.
Rester uniquement dans ce que lon suppose être la
vérité historique de ces répertoires
ne représente pas un but en soi. Dans les bals ou les
stages, chacun va participer, par lacquisition dun
vocabulaire commun, à la construction dune mémoire
collective nourrie des rapports vivants entre musiciens et danseurs.
Cest cette mémoire là qui permet la créativité,
limprovisation individuelle, lexpression du danseur
dans la communauté dansante, en respect des règles
de la danse donnée.
« La danse tend bien à se stabiliser par la
répétition. A plus forte raison en se sociabilisant.
Mais les traits constants quune pratique habituelle et
partagée lui impriment ne sont jamais quune part
delle-même. Ils nempêchent pas quelle
soit indéfiniment recréée. Elle change
au cours de la vie dun danseur, se renouvelle peu ou prou
quand il se renouvelle, meurt quand il meurt. Quil la
communique, elle revêt des aspects nouveaux. Quelle
passe dun milieu à un autre, elle devient une autre
danse. La physiologie, les impulsions obscures de la vie organique
et psychique profonde, laffectivité, les automatismes
lentement construits, les habitudes personnelles et sociales,
limprévisible donnée du moment, jouent leur
rôle, en même temps que lintelligence et la
maîtrise consciente, dans cet acte qui mobilise et unifie
toutes les forces vives. Acte dont aucune analyse népuise
la réalité complexe, et dont nous ne prenons par
la seule intelligence une image claire quen lappauvrissant,
souvent même en le mutilant. » Jean Michel
Guilcher, Aspects et problèmes de la danse traditionnelle,
revue trimestrielle de la Société dethnographie
française.
6-Comment vois-tu lavenir de la Compagnie ?
Pour que la Compagnie continue son chemin, nous devons être
exigeants sur la qualité de :
- notre capacité d'ouverture aux autres répertoires
: en particulier, nos rencontres depuis quinze ans avec des
musiciens des musiques traditionnelles, tels que Baron et Anneix,
John Wright et Catherine Perrier, Claude Flagel, lensemble
Ténarèze, Joan-Francès Tisner, Christiana
Mousquès, Stéphane Habert ( Son cubain), la Compagnie
Outre Mesure.
- notre échange avec le public : sa complicité,
son attente, ses compétences nous permettent de faire
évoluer notre pratique de bals et de spectacles.
- nos productions comme expressions de cette dynamique : enseignement,
prestations et publications (3 Disques Compacts, Cahier de Maître
Guillaume, Recueils de chansons à danser, la Lettre de
la Compagnie).
7- A part le bal, les disques et livres, quelles sont les autres
productions de la Compagnie ?
Les intermèdes, qui sont des divertissements musicaux
et chorégraphiques, mêlant instruments, voix et
danses, peuvent ponctuer le déroulement dun bal,
dun concert ou dune animation.
Les concerts dansés, voyages musicaux et chorégraphiques
dans lEurope de la renaissance, sont le reflet du travail
de la Compagnie sur les complicités entre musique et
danse.
Les concerts instrumentaux et vocaux permettent à la
Compagnie dexprimer toute lexpérience de
s apratique et sa recherche, sur les dynamiques particulières
à ces répertoires
La conférence-divertissement, spectacle vivant et histoire
de lart sunissent pour offrir un tableau complet
dune renaissance aux mmultiples aspects .
La formation sous la forme de stages, cours et conférence.
8- Qui compose la compagnie aujourdhui ?
Il y a des permanents et des invités
.Voir dossier
ci-joint
9-Quels sont les projets à venir ?
-Deux recueils de chansons à mener la danse (monodies
et polyphonies) sortiront au mois de juin.
-Nous enregistrons en septembre un disque-compact illustrant
nos rencontres des styles, des répertoires et des musiciens
.
-Faire tourner le quatuor vocal, nouvelle couleur pour mener
le bal.
-Stage dété du 9 au 16 juillet 2000 à
Bar Le Duc
-Grand bal avec ténarèze le 8 juillet à Bar Le Duc
-Concert le 23 juillet à Luxeuil, avec lensemble
Transmusique.
La Compagnie ne répond pas aux attentes toutes faites
de certains programmateurs, d'ou la difficulté à
faire tourner par nous-mêmes nos différentes production
et de trouver des vendeurs(et ce n'est pas faute d'avoir essayé
!)
Malgré tout, j'aime cette différence et ce particularisme,
pour ce qu'ils nous permettent comme rencontres, pour la liberté
qu'ils nous procurent dans nos choix artistiques, pour la diversité
de nos réalisations (de l'édition à la
réalisation de spectacles, de concerts en passant par
les C.D., les bals et la formation).
La Compagnie, c'est aujourd'hui, un espace pluridisciplinaire.
Les "compagnons", les nouveaux, les anciens, ceux
que l'on rencontre juste le temps d'un projet... sont autant
de personnalités respectables formant la matière
même de Maître Guillaume. Et la direction artistique,
je la conçois dans le respect des personnalités
artistiques de chacun ; je pense que mon travail consiste à
rassembler des dynamiques, du savoir-faire, autour de projets,
en tenant ce cap qui nous est spécifique, à savoir,
les multiples rapports musique-danse.
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Trad
Magazine, jui. 2000
(...) Ensemble de musique à danser la Renaissance, qui
ne connaît pas la Cie Maître Guillaume ? Publications
écrites et sonores de qualité, stages, bals et
spectacles de référence, le chemin de cette formaion
est pavé de projets ambitieux et de réalisations
pour le moins "pionnières".(...)
Laurent Tixier
Progrès, octobre 1998
La compagnie joint à
son métier artistique une expérience de terrain
qui en fait l'interlocutrice idéale pour une invitation
à la danse. Trop souvent confiné au seul concert,
le répertoire de la musique chorégraphique de
l'époque, particulièrement riche, trouve ainsi
un naturel et un élan de vie qui le rend ô combien
plus proche de nous et que l'on peut ainsi s'approprier de façon
bien plus convaincante que par le seul spectacle traditionnel.
(...) La Compagnie Maître Guillaume brille autant par
son style instrumental irréprochable (...) que par la
qualité de ses danseurs rompus à tous les secrets
et codages de ces danses.
Diapason, novembre 1997
Cet album confirme une ascension : celle de la Compagnie Maître
Guillaume dont les intentions pédagogiques se trouvent
confortées par un projet musicologique fait de rigueur
envers les sources imprimées et de liberté dans
la réalisation instrumentale.
Roger Tellart
Les
saisons de la danse, novembre 1997
Révérence passagère, parc floral de Vincennes
Loin de scléroser ce répertoire, la Compagnie
propose un spectacle vivant qui allie tradition et création.
Elle définit même son approche des styles anciens
selon trois axes : reconstruction, adaptation, création.
Musiciens et danseurs mettent en commun leur savoir, leur technique
mais aussi leurs recherches afin de rendre une authenticité
au répertoire (...) Régal pour les yeux, la Compagnie
peut s'enorgueillir de costumes magnifiques. La mise en espace
très simple a, par ailleurs, le mérite de placer
les musiciens sur scène. En effet, la proximité
et la convivialité constituent un projet essentiel de
la Compagnie Maître Guillaume. Une orientation généreuse
dans laquelle s'inscrivent d'autres formules tel le bal organisé
régulièrement où l'amateur, le danseur,
le musicien et tout autre passionné du genre peuvent
s'invite.
E. Dubourg.
Pastel, septembre 1997
Ce que la Cie Maître Guillaume a fort bien compris, c'est
que, dans ce domaine comme dans d'autres, il n'y a pas de reconstitution
fidèle possible. Il s'agit plutôt de construire
quelque chose de neuf, inspiré de pratiques passées.
Avec ce nouveau disque d'une très grande qualité
musicale et artistique, elle confirme son ancrage dans le cercle
étroit des meilleurs ensembles internationaux de musique
ancienne.
Luc Charles-Dominique
Pastel,
janvier-février 1996
Ce qui frappe immédiatement à l'écoute
de ce superbe disque, c'est la préoccupation constante
des musiciens pour la danse (...) S'ils se placent si volontiers
dans ce rôle de musiciens de danse, c'est qu'ils le sont,
c'est que leur compagnie est aussi une compagnie de danse, c'est
qu'eux-mêmes sont danseurs. Ça n'est pas un détail
: c'est, entre autres, ce qui place ce disque parmi les productions
discographiques de musique "ancienne" de très haute qualité.
Luc Charles-Dominique
Ouest-France, avril 1993
Maître d'uvre de cette soirée exceptionnelle,
la Compagnie Maître Guillaume, qui règle les chorégraphies,
coordonne les différentes sections de l'école
de musique (...) pour transformer cette rencontre en une grande
fête populaire. (...) Il faut dire que Sophie Rousseau
mène le bal avec talent et compétence, que les
quatre danseurs de "Maître Guillaume" savent partager
leur passion pour la danse ancienne et qu'il est impossible
de résister à l'appel acidulé du violon
et de la guitare Renaissance, du luth, de la chalemie et de
la douçaine...
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Archives - Repères
La compagnie et les réalisations pédagogiques
L'utilisation
de ce répertoire dans tous ses aspects peut concerner une ville,
un quartier,
une école, une classe ou un groupe...
Il permet la réunion de tous autour d'une même finalité,
d'une même production : le BAL.
ENMD : Evry (Arènes de l'Agora d'Evry), Blanc-Mesnil
Angoulême sous chapiteau
ENM : Aveyron, Tarn, Bourg la Reine
Conservatoire de Saint-Cloud...
Centre d'Initiation Musicale de Bar-le-Duc
ADDM : Ille et Vilaine, Côtes d'Armor
Ecoles primaires : Damrémont (Paris 18e), St-Lô, Ecole Normale de St-Lô...
CPEM de Bourgogne, Maison des Arts de Créteil,
Ville de Quimper, Ville de Castres...
Association "les Amis de la Musique" d'Avignon
La compagnie et la formation
Sablé-sur-Sarthe : Académie de Danses Anciennes
Urbino (Italie) : "Cordo Internazionale di Musica Antica"
Andorre : "Escola d'Estiu"
Barcelone, Düsseldorf, Florence, Madrid, Paris...
Tours : Centre de Musique Ancienne
Académies de Créteil et de Lyon
CNR de Poitiers
CEFEDEM : Dijon, Aubagne, Toulouse...
CEFMD : Poitiers
Université de Bordeaux : UFR de Musicologie
Mission Musique et Danse en Lorraine
La compagnie et la mise en valeur
du patrimoine
Pyramide du Louvre : soirée d'inauguration pour la restauration
des "Noces de Cana" de Véronèse
intermèdes Château de Blois : réception
pour la visite officielle de Sa Majesté la Reine d'Angleterre
Elisabeth II
intermèdes Château de Châteaubriant
bal et spectacle Angoulême : animation des fêtes pour le cinquième
centenaire de la naissance de Marguerite d'Angoulême
bal et spectacle Château de Sully : inauguration de l'exposition
"Sully ‡ Sully" pour le 350è anniversaire de la mort de Sully
bal et spectacle Musée National de la Renaissance, Château
d'Écouen
bal Conciergerie du Palais - Paris
spectacle et bal Château d'Azay-le-Rideau
tournage d'une vidéo sur l'histoire du Château, Château
de Chambord
spectacles, concerts et bals Cathédrale de Chartres : Fêtes du VIIIème centenaire
bal et intermèdes Villes d'Art et d'Histoire (Rodez, Dinan, Bar-le-Duc)
conférences divertissements, bal, spectacles
La compagnie et les festivals
Paris : Festival classique au vert (Parc Floral de Paris)
- spectacle
Festival des instruments anciens (Conciergerie du Palais et Cirque
d'Hiver) - spectacles et bals
Rencontres Internationales de Musiques anciennes - spectacle et bal
Nuits des musiciens - spectacle
Châtellerault : Festival Clément Jeannequin
- spectacle et bal
Le Mans : Festival de l'Abbaye de l'…pau - spectacle
Les Scénomanies - spectacles
Nantes : Le Printemps des Arts - bal
Lyon : Biennale de la Danse - spectacle et bal
Dieppe : Festival de Musiques anciennes - spectacle et bal
Sablé-sur-Sarthe - bal
Festival d'Ambronay - spectacle et bal
Festival de musique ancienne d'Alden Biesen (Belgique) -
bal et intermèdes
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